Nom du blog :
jesuisunechieuse
Description du blog :
Parfois, il est nécessaire de parler mais moi, je radote ! Bienvenue !
Catégorie :
Blog Journal intime
Date de création :
24.02.2009
Dernière mise à jour :
10.06.2011
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amour ange annonce article bonne bonne nuit bonsoir carte chez coeur femme gratuit
Derniers commentairessalut merci pour ton message. ca a l'air sympa ton bouquin, je jetterai un oeil voir le style d'écriture et po
Par chezdom, le 04.10.2010
cool, tu as été une peste avant d'être une chieuse, c'est une évolution comme une autre ;o) bonne fin de semai
Par chezdom, le 01.07.2010
************** **#*********** ****** bonjour
****** **********##** *************
************** **###********
Par pascal, le 19.06.2010
oui mdrrrrrrrrrrrr rrrrrrrrrrrrrr r
des nuls lol
?..?..?..? ..?..?..?..?.. ?..?.. ?..?..?..?..?. .?..?..?..?..
Par pascal, le 18.06.2010
@emy : j'attends avec impatience alors ^^http://jesui sunechieuse.ce nterblog.net
Par jesuisunechieuse, le 18.06.2010
Etrangement, je me suis souvent posée la question. Non pas que je sois mal à l'aise dans mon corps actuel, mais je me demande ce que cela aurait donné. Au-delà de détails purement physiologique et physionomique, voir le monde du point de vue de l'autre sexe pourrait être une expérience plus qu'enrichissante.
Un cerveau d'homme est-il si différent de celui d'une femme ? Oui et non. Certes, même si certaines qualités sont à attribuer à l'homme, d'autres sont sans nul doute propriété féminine. Un exemple très simple mais plutôt parlant : le sens de l'orientation. Il doit y avoir une sorte de GPS dans la tête d'un homme qui lui donne cet air de satisfaction lorsqu'il se permet de saisir une carte de la main de la femme et lui faire une démonstration, justifiée, de sa capacité à se repérer dans l'espace. Je dis ça parce qu'il m'est vraiment impossible de me repérer sur une carte. La semaine dernière, devant me rendre chez une amie, j'ai du tourner plus d'un quart d'heure dans la mauvaise rue avant de m'apercevoir qu'il me suffisait de traverser la route après avoir émergée du métro parisien pour trouver la rue recherchée.
Cet article n'a pas pour vocation d'avoir une quelconque valeur scientifique, évidemment. Vous êtes ici sur un territoire de divagation.
Au-delà de ce piètre exemple que j'ai livré, qu'en est-il du sacre saint de la Vie ? Qu'en est-il de ce mot en A que tout le monde recherche et redoute à la fois ? Oui, pourquoi ne sommes-nous pas sur le même piedestal en ce qui concerne l'Amour ? Si j'avais été un homme, aurais-je été le pire des salauds ? Aurais-je été le galant homme admiratif de la gente féminine ? Aurais-je été celui dont toutes les filles se seraient moqué en pointant du doigt, jugeant que ma chemise est bien trop démodée ? Nous avons toutes, je pense, une idée de l'homme idéal, celui qui nous ferait sans doute toucher les étoiles. Mais à la place d'un homme, aurait-on pu être celui dont nous rêvons depuis toujours ? Et si en fin de compte, nous manquions tous de sensibilité et que notre désir de cette chose intouchable n'est en fait que la manifestion de ce que nous ne pourrions jamais être ?
Si j'avais été un homme, j'aurais sans doute imaginé ce que ça ferait d'être une femme...
Es-tu ombre ? Es-tu ange ?
N'es-tu que le fruit de l'imagination ?
Pris dans mes pensées, le mélange
Est potion en suspension.
Ce n'est que du poison
Qui coule dans les veines
D'un souvenir et le frisson
N'est que la séquelle d'une peine.
Tu es faite d'une image qui ne guérit
Un regard qui se pose et qui fuit
Peut-être trois fois rien qui grandit
Mais mon amour n'est qu'hérésie.
Il est des nuits où tu reviens
Celles qui enlassent mon coeur
De plus de mal que de bien
Qui me laisse choir dans la douleur.
Tu n'es rien mais pourtant tout
Je suis rien et le demeure
De cet espace entre nous
S'envolent toutes nos heures.
Tout doucement, bonne nuit
Dors bien dans ton écrin
La soie voile tes yeux, luit
Embrassée dans tes draps de satin.
Fin de l'histoire... mais pas fin des pensées.
Carpe Diem.
Bonsoir à tous,
Je consulte un psy imaginaire depuis de longues années, un psy qui est toujours avec moi et qui me conseille, parfois mal. Il est gratuit et il ne fait pas de grève, il ne se plaint jamais, il ne s'endort pas. Eh oui. Je me parle. C'est presque une forme de schizophrénie, no ? Je dirai non. Ma santé mentale va très bien, merci beaucoup.
Je suis fatiguée... d'une fatigue qui ne s'apaise pas par 8h de sommeil. Je suis juste un peu blasée. C'est le mois d'octobre, je crois. Chaque année depuis 5 ans à peu près, je suis sujette à ce genre de syndrôme, une petite mélancolie, les regrets qui remontent. Une fois ce cap passé, ça va un peu mieux mais j'ai l'impression que tout est amer, tout est fade. Manque de soleil.
Envie de connaitre de nouveaux horizons. De nouvelles têtes. De nouveaux rires. Des délires. Des passions. Des déchirures. Connaitre la vie.
Tout ça... je suis une chieuse
Carpe Diem.
Bonsoir à toutes et à tous !
Me voici de retour... En tout cas, après deux mois. Entre temps, j'ai achevé mon mois de travail, j'ai repris les bancs de la fac pour une nouvelle année qui s'annonce, ma foi, pas sous les meilleurs auspices. Enfin, soit. Je verrai bien. Quoi qu'il en soit, en regardant les infos, j'ai vu qu'il y aurait une grève à durée illimitée de la RATP à partir du 12 octobre et ça... ça me met en colère ! Quand on sait que je fais le combo des pires lignes, que je traine 3h par jour dans les transports, les grèves, ce n'est vraiment pas ma tasse de thé. Je ne dirai rien sur les raisons qui ont mené à cette grève, je ne suis pas encore bien documentée pour connaitre exactement les deux versions de cette histoire. J'y reviendrai peut-être plus tard. Pas sûre cependant, je me suis jurée de ne jamais parler de deux sujets : la politique et la religion. Je pense que je vais respecter ça.
Je ne sais que dire, en réalité, je suis un peu déprimée par les cours, la fac, le campus, les gens là-bas, le sentiment de solitude... Je suis très (trop) dépendante du soleil et j'ai d'ailleurs lu quelque chose de très vrai dans le journal un matin : "les parisiens sont tristes, déprimés, agressifs en hiver et joyeux, souriants et aimable en été. Il faudrait qu'il y ait le soleil toute l'année !" A qui le dis-tu, mon petit et si seulement ! Il y a aussi un fantôme qui a ressurgi du passé au moment où je m'y attendais le moins et c'est bête qu'un si petit événement ait un impact si grand sur moi. Je m'en veux de ne toujours pas être détachée de ce fantôme, je suis en colère et mélancolique... Je parle mais vous ne devez pas comprendre grand chose. Ce n'est pas grave. C'est encore mon esprit qui délire.
Sur ce... toujours chieuse
Carpe Diem !
T.
Musique : Tiny Alien - Katie Melua
Bonsoir à tous,
Encore une fois, ça faisait un long moment que je n'avais pas posté ici. Je viens de rentrer de mes vacances entre potes et en cadeau, je me suis chopée la crève, super retour ! Puis j'ai pris le chemin du job d'été alala... Tout ça pour dire qu'une semaine en Côte d'Azur, j'ai beaucoup aimé, moi qui n'avais encore jamais vu le Sud (je me cantonne au Nord du pays...). Le retour sur Paris fut bien triste, à voir les énormes nuages qui nous ont accueilli. J'ai regretté le Soleil que j'ai côtoyé avec plaisir et délectation !
Mais encore, j'ai un sujet en tête évidemment. N'avez-vous jamais pris un livre dans vos livres, l'ouvrir et complètement voyager à l'intérieur, découvrir chaque mot comme si on vous les lisait, voir les personnages évoluer comme s'ils étaient réels, les aimer, vivre avec eux de larmes et de rire ? Il m'est souvent arrivé de lire un livre d'une traite, je me rappelle encore le premier livre que j'ai adoré, j'avais 8 ans et il s'intitulait "Les deux moitiés de l'amitié." Mais aujourd'hui, je suis tombée amoureuse de plus de 500 pages, complètement folle de ce livre : Le Temps n'est rien d'Audrey Niffenegger. De quoi ça parle ? D'amour. Je promets, je ne suis pas adepte des livres parlant d'histoires d'amour, en général, ça m'ennuie bien assez vite. Cette histoire-là est différente. Claire connait Henry depuis qu'elle a 6 ans. Henry n'a connu Claire que lorsqu'elle avait 20 ans. Comment est-ce possible ? Henry est un voyageur du temps, il se trimballe entre passé et futur. Claire se berce d'attente, de l'amour qu'elle éprouve pour Henry comme lui pour elle. Et rien que pour ça, je me dis que Claire et Henry, pardi, quelle belle histoire ! J'avais des mots plein la tête pour vous décrire cette histoire, vous faire partager mon enthousiasme, vous en parler davantage parce que je ne peux vraiment en parler avec personne... de vive-voix, cela s'entend. Parfois je me sens seule avec mes passions. Pas que parfois d'ailleurs. Enfin bon. Pour avoir adoré The Time Traveler's Wife (titre original), je ne peux que vous le conseiller et peut-être qu'on pourra en parler ensemble un de ces jours :) ! Bon là, je suis un peu stone, j'ai tellement aimé ces deux là que maintenant que leur histoire ne se déroulent plus sur le papier, je me sens triste, presque déprimée... mais ça va passer, mon stock de dopamines est seulement à sec, mon cerveau en refera la commande illico.
Sur ces mots, je dois m'en aller vers d'autres aventures. Je tacherai de trouver un autre sujet à traiter plus tard (et hop encore un article que je vais mettre dans une rubrique qui n'a aucun rapport parce que j'ai pas pensé à en faire une pour mes lectures, shade !). Ah oui, il existe un film adapté du livre qui ne vaut évidemment pas la qualité du bouquin : Hors du temps, avec Rachel MacAdams, vraiment très jolie et Eric Bana qui pour moi a beaucoup de charme, dû à son rôle dans Troie (je n'ai pas particulièrement aimé ce film mais Eric campant Hector, j'ai adoré, ça lui allait tellement !). En attendant, je vous souffle mille mots pour bercer vos nuits ! Mais n'oublions pas :
Je suis une chieuse,
Carpe Diem.
"Avec lui, je peux contempler mon existence dans sa totalité, comme une carte, passé et futur réunis, comme un ange... [...] Tout est déjà arrivé." A. Niffenegger